Car, si le Gouvernement prend enfin conscience – mieux vaut tard que jamais – de la gravité extrême de la situation économique et de l'ampleur des destructions d'emploi – 50 000 chômeurs de plus par mois, pour l'essentiel dans nos entreprises exposées à la concurrence ! – et en fait un sujet prioritaire, on a le sentiment que, pour la majorité, la vraie question est surtout d'étendre ce crédit d'impôt au secteur coopératif, au secteur public, aux hôpitaux… bref, aux secteurs à l'abri de la concurrence.