Selon moi, ces manifestations de nationalisme ne sont ni plus ni moins graves que celles que l'on peut observer en Hongrie ou au Danemark.
S'agissant de l'équilibre général en matière de sécurité en Europe, nous ne pensons pas que l'Ukraine soit aujourd'hui en état de rejoindre l'OTAN, ni que sa contribution – input – en termes militaires soit de nature à nous encourager à soutenir sa candidature. C'est en tout cas l'avis de ma direction, mais j'ai l'impression qu'il est partagé à droite comme à gauche.