Aujourd’hui, la prévalence du VIH est six fois supérieure en prison qu’en milieu ordinaire. Une fois sur quatre, ce virus est détecté au moment de l’incarcération. Nous avons donc besoin de porter des politiques concrètes de prévention des risques en les adaptant au milieu carcéral.
J’entends le discours qui consiste à dire qu’au fond, il ne devrait pas y avoir de drogue en prison.