Leur état de manque est tel qu’ils ont besoin de s’injecter des produits avec la même seringue. Quelle que soit la nature du produit que ces hommes et ces femmes s’injectent, nous devons faire en sorte de sécuriser la situation et d’empêcher la circulation des seringues.
Ce n’est pas en fermant les yeux sur les réalités que l’on apporte les meilleures réponses.