J’avais demandé la parole sur un amendement précédent, mais celui-ci est à peu près de la même veine.
Je suis effaré de constater combien le principe de réalité a bon dos. En son nom, on admet tout et on accepte toutes les dérives.
Je rappelle en cette enceinte que si la loi se contente de suivre l’évolution de la société, il ne sera bientôt plus nécessaire de la faire.