…en dépit des dénégations de Mme le ministre et de l’apparente fermeté du Gouvernement qui se dit hostile à la dépénalisation de l’usage de la drogue, on va nous dire, au nom du principe de réalité, dont il a tant été question aujourd’hui, qu’il faut dépénaliser. Et on le fera, non pas de manière brutale, non pas de manière systématique, mais petit à petit, comme vient de le proposer notre collègue Jean-Louis Roumegas.