Tous les députés de cet hémicycle veulent lutter contre la toxicomanie, mais la différence entre nous est une différence d’approche. En effet, la réalité est qu’il y a dans notre pays des toxicomanes marginalisés qui échappent à tous les dispositifs existants et qui se droguent dans des conditions sanitaires déplorables – dans les jardins publics, dans les toilettes publiques, dans les parkings, dans les cages d’escalier ou à proximité des écoles.