mais n’oublions pas qu’un syndicat de gynécologues ainsi qu’un grand nombre d’assistantes sociales, nous ont alertés quant à la nécessité de conserver ce délai de réflexion.
Cet amendement sera adopté puisque vous êtes majoritaire ; soit. Ce soir, toutefois, j’aurai une pensée triste pour certaines femmes qui subissent la pression de leurs compagnons ou d’autres personnes et à qui l’on ne laisse pas le temps de se retourner, que ce soit vers leur noyau familial ou vers les dispositifs d’aide médico-sociale. Ces femmes-là méritent elles aussi notre attention !