Dès lors, s’agissant d’un acte dont 83 % des femmes pensent qu’il peut laisser de telles traces, il me semble que le fait de laisser un temps de réflexion ne revient ni à nier ce droit à l’IVG, ni à récuser le fait que c’est un acte médical à part. Cet acte à part doit correspondre à un régime juridique à part.
Enfin, sur le plan purement politique, la droite et la gauche avaient abouti à un consensus et je regrette qu’il soit remis en cause.