Je vais finir mon propos.
En 1944, le général de Gaulle a donné le droit de vote aux femmes, qu’elles ont pu exercer lors des élections de 1946, il le leur a donné parce qu’on pensait qu’elles étaient capables de réfléchir et de penser, et je pense qu’on avait raison. Et, aujourd’hui, on en est encore à justifier un délai de réflexion, en parlant d’achats de voiture et de crédits à la consommation ! Où va-t-on, messieurs, où va-t-on ?