Cette question est légitime depuis l’affaire Snowden, mais le mécanisme proposé me laisse perplexe. Tout d’abord, les échanges que nous venons d’avoir et les votes auxquels l’Assemblée vient de procéder montrent que le véritable lanceur d’alerte, avec ses prérogatives et ses moyens de contrôle, est la CNCTR.