C'est la moyenne basse. Je pense essentiellement aux locataires du logement locatif social qui vont retrouver dans leurs charges ces frais de répartiteurs ou de compteurs d'énergie. Alors que les travaux de rénovation thermique doivent faire baisser le niveau de consommation, et donc les charges, on obligerait les locataires à installer des dispositifs dont le coût est, pour un compteur d'énergie thermique, de 100 euros par an et par logement, soit 42 euros de location, 50 euros d'entretien, plus cinq ou six euros pour le relevé du compteur. Ceux à qui l'on veut faire faire des économies seraient obligés d'en supporter le coût, alors même qu'on a amélioré la performance thermique des logements. Notre proposition peut représenter un équilibre entre les exigences de performance énergétique et la limitation de l'augmentation des charges des locataires.