Nous ne pouvons qu'approuver l'esprit de l'amendement, même s'il ne peut être adopté en l'état. Tout le monde est victime de la précarité énergétique, mais les classes les plus modestes le sont plus que les autres. Comme Mme Cécile Duflot l'a rappelé, ce sont elles qui ont le plus de difficultés à réaliser des travaux. Il faut trouver les moyens de mettre fin à cette précarité, pour des raisons énergétiques et sociales. Les locataires ou propriétaires qui ont des revenus suffisants peuvent bénéficier, par exemple, de réductions d'impôts, mais nous devons aider les classes les plus modestes afin que la fracture énergétique ne s'ajoute pas aux fractures sociale et numérique.