Je partage les préoccupations de M. Julien Aubert : nous savons ce que sont les carburants alternatifs, puisqu'ils sont définis par une directive européenne.
En tout état de cause, si nous suivons le rapporteur, j'ai du mal à comprendre la formulation : « les véhicules électriques, ainsi que les véhicules de toutes motorisations et de toutes sortes d'énergie produisant de faibles niveaux d'émissions de gaz à effet de serre et de polluants. » Les véhicules électriques ne feraient-ils pas partie des véhicules qui émettent peu de gaz à effet de serre et de polluants ? Pourquoi citer une catégorie, puis tout le reste ?
Cette formulation donne l'impression que les autres types de véhicules sont considérés comme moins intéressants. Or nous sommes nombreux ici à penser que, si le véhicule électrique fait partie de ceux qui peuvent nous permettre de réduire nos émissions en matière de mobilité, il y en a d'autres que nous aurions tort de négliger.