Le texte prévoit des zones « à circulation restreinte » auxquelles nous sommes bien sûr favorables, mais l'expression employée est assez peu séduisante et donne une impression négative par rapport à l'objectif poursuivi. À l'étranger, on parle de « zones basses émissions », de « zones vertes », de « zones environnementales », appellations à la connotation positive. Les trois amendements en discussion commune proposent donc les expressions « zones basse pollution » ou « zones qualité de l'air » ou « zones environnementales ». Nous ne tenons pas à l'une plus qu'à l'autre, mais il nous semble bon d'inviter les collectivités locales qui mettront en place ces zones à leur donner une connotation positive, tout comme existent déjà les « territoires à énergie positive » (TEPOS), les « villes respirables », lancées il y a peu de temps par la ministre de l'écologie. Voilà qui est plus explicite et attrayant pour les gens que les mots « zones à circulation restreinte ».