Si c'était simple, cela aurait été fait. Constatons que des travailleurs se trouvent dans des situations très particulières de précarité, de souffrance, de risque. On peut toujours considérer que nos propositions ne sont pas les bonnes, mais je note que le sort des personnes concernées n'émeut visiblement pas grand monde, que pas grand-chose n'est fait pour redresser leur statut, pour mieux les protéger, même si l'on a tout de même baissé la dose maximale de radioactivité qu'elles pouvaient subir – et encore, de ce qu'on entend ici ou là, toutes les situations ne sont pas encore conformes aux règles en vigueur. Je relaie donc la revendication des associations de travailleurs sous-traitants pour l'établissement d'une convention collective.