Le président du conseil régional d'Alsace a, contrairement à M. Aubert, les pieds sur terre : il n'approuve pas la fermeture de Fessenheim, et il ne s'en cache pas, mais il discute néanmoins avec l'État des clauses d'accompagnement qui seront incluses dans le contrat de plan entre l'État et la région. Quelle qu'en soit la date, je le répète, cette fermeture aura lieu.