Il n'échappe à personne que la période est particulière : EDF, qui doit consentir de nombreux investissements, pourrait par ailleurs être concernée par l'avenir du groupe AREVA. Il paraît délicat d'ouvrir un tel chantier, qui à mes yeux n'est pas un chantier vulgaire, dans ces conditions. Faut-il introduire aujourd'hui, dans ce contexte, des éléments de déstabilisation ? Je pose la question. Cela ne signifie pas qu'il ne faudra pas aborder le sujet. Quand je dis que c'est du lourd, c'est que c'est vraiment du lourd !