Je prends acte de votre réponse, monsieur le secrétaire d’État. Chacun aura compris que le temps ne joue pas en notre faveur. Il faut donc aller très vite. J’espère ainsi que les acteurs locaux de Guyane sauront mettre en oeuvre le processus afin de trouver rapidement les réponses attendues par la population.