Pour preuve, elle a relevé ses prévisions de croissance pour 2015 à plus de 1 %, et à 1,7 % pour 2016, se montrant ainsi plus optimiste que nous-mêmes. En conséquence, la Commission confirme notre prévision d’un déficit à 3,8 % pour 2015, alors qu’elle l’estimait à 4,1 % il y a quelques mois.