Dès qu'un projet ne génère pas de profits, il ne reste que les chambres d'agriculture pour le soutenir. Par exemple, chacun était prêt à s'engager dans la mise aux normes des bâtiments d'élevage, notamment pour la délivrance de conseils dans le cadre des études préliminaires ; mais les coûts et les tensions étaient tels que les chambres d'agriculture sont restées seules à la manoeuvre. La situation est la même dans les départements où les agriculteurs sont peu accompagnés.