Ne faudrait-il renforcer les liens avec les lycées agricoles, qui mènent aussi des réflexions sur les nouveaux systèmes d'exploitation des terres ? Cela ne permettrait il pas ainsi une formation tout au long d'un parcours et d'un métier ? On reproche souvent aux chambres un certain « entre-soi », les services étant plus facilement accessibles aux agriculteurs qui leur sont proches. Les initiatives des jeunes agriculteurs se développent souvent seules, sans les conseils des chambres.
Proposez-vous des abonnements à l'année pour vos services d'accompagnement ? On pourrait, dans l'affirmative, s'interroger sur l'efficacité d'une telle formule qui se substituerait à la taxation.