Quid de la coordination entre les différentes structures – groupements d'agriculteurs biologiques (GAB) ou centres d'initiatives pour valoriser l'agriculture et le milieu rural (CIVAM), par exemple – et de leur éventuelle mutualisation, sans remettre en cause le rôle de chacune ?
Les chambres d'agriculture – dont le lien avec les autres chambres consulaires gagnerait à être renforcé – ne pourraient-elles contribuer à une meilleure adaptation des projets aux évolutions induites par la PAC et par la loi d'avenir ?