Je l’ai dit dans ma première intervention, je peux vous le redire autant de fois que nécessaire, monsieur Geoffroy !
En revanche, nous n’avons pas que des points de consensus. Notre but n’est pas d’envoyer des messages à nos concitoyens quand nous faisons la loi, à moins que vous pensiez qu’on peut s’adresser aux pervers sexuels en pensant qu’ils sont sensibles aux messages que leur envoie le Parlement ! Malheureusement, je crains que ce ne soit pas très efficace.