…une tension s’est fait jour et cela fait partie de la vie du Parlement. Chacun pense que l’autre est plus responsable que soi de cet état de fait, mais peu importe.
Nous poursuivons l’examen de ce texte et, à l’arrivée, vous le savez, on vous l’a dit, la plupart des membres de l’opposition, très probablement, le voteront.
Donc, de grâce, veillez à ne pas considérer que nous aurions l’intention de faire de l’obstruction !
Olivier Marleix, avec quelque raison, souhaitait s’exprimer. Voir la présidente de la commission prendre un air agacé et faire remarquer que le président le laisse parler trop longtemps, ce n’est pas acceptable.
Si nous nous livrions à une obstruction systématique, si nous demandions à reprendre la parole pour le plaisir de la reprendre et susciter des événements malencontreux, vous seriez fondés à le dire mais tel n’est pas le cas ! Ce n’est pas notre état d’esprit !
Nous avons eu tout à l’heure un point de désaccord et de friction, oui, c’est vrai, et telle est la vie de notre Parlement mais, de grâce, pour la suite de ce débat, ne nous faites pas ce mauvais procès selon quoi nous voudrions empêcher l’examen du texte et prendrions la parole pour dire n’importe quoi !