Ce à quoi j’essaie de travailler, tout en sachant que c’est probablement avec les magistrats que la chose est la moins aisée, c’est à un travail pluri-institutionnel, pluridisciplinaire, autour de l’enfant. La bonne décision, c’est celle qui est prise, dans le dialogue, entre ceux qui sont intervenus les premiers, qui ont suivi la famille, qui ont décidé, par une mesure administrative, de protéger l’enfant, d’une part, et le juge, d’autre part. J’ai mieux compris, avec votre deuxième amendement, quelle était votre préoccupation. Je la partage, mais je m’y oppose, parce qu’il n’est pas possible de mettre en oeuvre ce que vous proposez.