La première réponse, c’est d’abord de renforcer la présence de l’Union européenne en mer Méditerranée. Ce matin, la Commission européenne a annoncé qu’elle triplerait le budget des opérations Poséidon et Triton menées par l’agence Frontex. C’est ce que nous-mêmes avions proposé. La France, vous le savez, a envoyé des navires.
Deuxième axe : la lutte contre les trafiquants. Nous demandons un mandat aux Nations-unies pour pouvoir nous attaquer à eux, en coopération avec les États de transit et les États de provenance.
Troisième axe : prévenir les flux illégaux par une politique de stabilité, de développement et de transition démocratique.