Alors que nous devrions travailler tous ensemble pour nous attaquer aux racines du problème, un élitisme conservateur combat de toutes ses forces la réforme annoncée, dans cet hémicycle et ailleurs, lui préférant un statu quo inacceptable.
Vous le savez, nous soutenons les grands principes de cette réforme : donner plus d’autonomie aux établissements, accorder une plus grande liberté pédagogique aux équipes, favoriser le travail collectif et interdisciplinaire, travailler en petits groupes, prévoir un accompagnement personnalisé. Proposer à tous – et non plus à quelques-uns – l’apprentissage des langues anciennes et une deuxième langue vivante dès la cinquième va aussi dans le bon sens.