La présente proposition de loi n’aborde certes ni les entreprises, ni l’université, ni d’autres domaines encore où se posent chaque fois des problématiques différentes. On peut le regretter. Mais il fallait d’abord obtenir un premier texte, une première loi, quand tant de personnes s’y opposaient. Aujourd’hui, cette proposition de loi présente le mérite de porter sur les structures accueillant les plus vulnérables d’entre nous, c’est-à-dire les enfants, nos enfants. Ceux-ci ne doivent en aucun cas devenir les otages de comportements provocateurs ou contraires aux impératifs du vivre ensemble. La présente proposition de loi contribuera à les protéger contre de tels risques. C’est pourquoi je vous invite à l’adopter.