Il y a tout de même un grand paradoxe : l’État impose les enseignements, et c’est aux collectivités locales de payer. C’est totalement illogique, et c’est pour cette raison que cela ne fonctionne plus. On nous dit qu’une telle organisation participe à la démocratisation, mais c’est en fait l’exact inverse qui est en train de se produire. Il faut que Mme la ministre de la culture se rende sur le terrain afin de voir la réalité. Tous les professeurs pourront lui témoigner leur mécontentement.