Monsieur le secrétaire d’État, je vous remercie de votre réponse. Cela étant, quelques corrections doivent être apportées. D’abord, s’agissant des décharges, nous ne sommes pas passés en Moselle d’un quart à un tiers, mais d’une demi-décharge pour neuf classes à un tiers. Cela représente bien une diminution de la quotité de décharge pour les directeurs d’école, qui se traduira par moins de services. Puis, concernant les remplacements, vous avez évoqué un taux de 77,6 %. Il reste donc bien un certain nombre de classes, soixante-dix en Moselle, qui n’ont pas d’enseignant aujourd’hui. Cela peut concerner des classes de maternelle ou de CP. J’ai cité l’exemple d’une classe de CP située en zone sensible à Thionville, où une enseignante partie en congé maternité n’a pas été remplacée : c’est très regrettable, car assurer l’enseignement de nos enfants est une priorité.