J’irai dans le même sens : on ne peut pas tantôt se retrancher derrière l’ASN, autorité de contrôle pour la sûreté, tantôt derrière EDF, qui est l’exploitant. S’agissant de Fessenheim, je rebondis sur la question : il s’agit, en l’occurrence, d’une décision gouvernementale. Or, normalement, ce devrait être à l’ASN et à EDF de décider des réacteurs dont l’exploitation doit être poursuivie ou non.