Contrairement à ce qui vient d’être dit, nous pensons qu’un peu de volontarisme est indispensable pour développer les énergies renouvelables. À l’alinéa 28 du texte, il est proposé de faire passer la part des énergies renouvelables dans la consommation finale d’énergie de 23 % en 2020 à 32 % en 2030. Ce serait un progrès bien modeste en dix ans. Aussi proposons-nous que les 32 % d’énergies renouvelables en 2030 soient une valeur-plancher en insérant les deux mots « au minimum ».