Si nous avons les moyens et la possibilité de faire autrement – et sans doute moins cher à l’horizon que nous annonçons – nous avons le devoir de le faire en notre conscience de responsables politiques en charge de la sécurité et de la sûreté de notre pays. C’est aussi simple que cela.
Monsieur Laurent, je veux le dire ici, il ne s’agit pas du tout de peurs millénaristes. Le discrédit a été jeté sur la réalité d’un risque qui est avéré aujourd’hui. Il s’est réalisé à Fukushima à notre grand regret, et cela montre que ce risque existe.