Monsieur de Mazières, c'est en posant des principes que l'on permet des avancées concrètes. Il se trouve que, avec ce texte, nous faisons les deux en même temps.
Depuis le 31 janvier dernier, le nombre d'heures nécessaire pour bénéficier des indemnités journalières est passé de 200 à 150 heures par trimestre, ce qui, en soi, constitue un progrès. Une circulaire viendra préciser les conditions d'accès des intermittents à ces prestations : avez-vous quelques précisions à nous apporter à ce sujet ?