Je souhaite rectifier une affirmation : le « ticket » n'a pas été voté à l'unanimité en commission au cours de la première lecture, car j'ai personnellement voté contre.
Je tiens à dire à certains collègues que nous cherchons à trouver les solutions pour apaiser la situation.
En outre, la présidente actuelle de l'université a été élue par les trois pôles sans que personne ne remette en cause sa légitimité.
Je suis heureux d'entendre mes collègues députés de l'Hexagone parler avec tant de passion de l'outre-mer. J'aimerais toutefois qu'ils mettent autant d'énergie à défendre les Ultramarins qu'ils en consacrent aujourd'hui à défendre l'idée du « ticket ». Je maintiens que ce « ticket », c'est l'explosion de l'université assurée. La solution se trouve dans l'apaisement, de la même manière que la répartition des moyens a d'ores et déjà fait l'objet d'un compromis.