Monsieur le rapporteur, monsieur le secrétaire d’État, j’ai bien entendu vos réponses. Si je devais les résumer, ce serait « On s’en occupe. Circulez, il n’y a rien à voir » ! C’est d’ailleurs une grande tradition française en matière de nucléaire, excellemment reprise par M. Aubert à l’instant, qui nous dit que seule importe la filière et au passage nous reproche d’être désagréables.