Si le nucléaire est garant de notre indépendance énergétique, cela devrait signifier que nous avons donc sur notre territoire de l’uranium à revendre. Ce n’est pas le cas, mais nous considérons comme normal que l’uranium, quand il est exploité, doive l’être comme s’il était sur le territoire français, c’est-à-dire dans les mêmes conditions, notamment sociales.
L’amendement tend donc à ce que, lorsque l’importation des matières premières est nécessaire pour l’exploitation des installations nucléaires, les standards d’extraction soient au moins égaux à ceux qui prévaudraient sur le territoire national.