Je me réjouis du plaidoyer de M. Aubert, qui vient de démontrer, premièrement, que le nucléaire n’assure pas l’indépendance, puisque le minerai vient de l’étranger, et que, deuxièmement, Areva ne pourrait survivre que grâce à un dumping social et environnemental et que s’il appliquait à l’étranger les mêmes règles qu’en France, il ne pourrait pas survivre.