L'argument de la modernité ou de la technologie n'est pas suffisant. Les employeurs et les salariés débattent au sein de ces instances de sujets graves et complexes ; il importe qu'ils se rencontrent et soient présents physiquement aux réunions, ne serait-ce que pour pouvoir avoir des échanges pendant les suspensions de séance – cela arrive souvent. C'est pourquoi je propose, par mon amendement AS316, que le recours à la visioconférence ne soit possible que dans des circonstances exceptionnelles. Je vais donc plus loin que le rapporteur, mais je soutiens son amendement, qui va dans le sens que je souhaite. Il est nécessaire que les gens qui traitent de ces questions puissent se regarder, se parler, se connaître.