Je suis en contact permanent avec le président de l'Association ouvrière des compagnons du devoir et je me félicite que ces amendements aient été déposés. Peu importent les raisons pour lesquelles les Compagnons du devoir se trouvent en difficulté : en leur accordant – à eux seuls et à titre exceptionnel – la possibilité de pratiquer une péréquation durant encore trois ans, nous allons leur permettre de franchir la difficulté financière à laquelle ils sont confrontés, ce qui ne les dispense évidemment pas d'assainir leurs finances de manière plus durable.