Je rejoins l’argumentaire que vient de développer le rapporteur. Il est vrai, personne ne le nie, et vous l’avez fort bien souligné, que l’absence d’institutions représentatives du personnel est un sujet majeur pour les salariés comme pour la démocratie sociale.
Le rapporteur a cité comme exemple les entreprises de onze à cinquante salariés : on pourrait citer celles de moins de cent salariés.