Cet amendement se situe dans la droite ligne de nos propos précédents.
L’usage de la visioconférence doit rester un recours exceptionnel pour pallier certaines contraintes spécifiques mais, dans l’intérêt du dialogue social et de la négociation, il convient de privilégier le dialogue interpersonnel, sans filtre technique.
Nous considérons que si le recours à ce dispositif était imposé, il ne le serait qu’au détriment du dialogue social.