D’abord, l’échéance au 31 juillet 2016, soit sept mois après la mise en oeuvre du dispositif, me paraît un délai bien court.
Ensuite, je n’ai aucun doute sur la réactivité de ces organismes. J’en ai d’autant moins qu’ayant eu à s’adapter et à gérer le RSA activité, ils ont fait la démonstration qu’ils étaient capables de gérer de tels dispositifs. Vu que nous travaillons avec eux, notamment avec la Caisse nationale des allocations familiales, depuis plusieurs mois et même plusieurs années, et vu que je sais qu’ils se sont d’ores et déjà organisés à cette fin, je n’ai pas d’inquiétude particulière quant à leur capacité de mener à bien cette mission.
Avis défavorable, donc.