Cet amendement est connu puisqu'il avait été proposé par certains collègues sur un autre texte. Il présente le mérite de favoriser les vrais restaurants – je ne vais pas ouvrir le débat à cette heure tardive mais, pour simplifier, il y a ceux qui réchauffent des plats et ceux qui font de la cuisine. Le label des maîtres restaurateurs a été travaillé avec la profession et il autorise le bénéfice du crédit d'impôt. D'un coût très modeste, moins de 3 millions, il mérite d'être prolongé.
Avis favorable.