Je répète que nous respectons scrupuleusement les règles : ce texte est bien à vocation européenne puisqu'il porte sur l'action de l'Union européenne en faveur de la protection des droits des Tibétains. La commission des Affaires européennes en a été officiellement saisie. Si elle l'adopte, il sera examiné par la commission des Affaires étrangères. Je ne retire donc rien de mes propos. J'observe en outre que toutes les résolutions que nous examinons concernent aussi une commission sectorielle. Si l'on suivait votre raisonnement, notre commission serait privée de toute autonomie.