Je pose la question car on voit mal comment ces personnes en difficulté pourraient sortir de la prostitution tant qu'elles restent privées de carte de séjour. Même si ce n'est pas explicite dans le texte, la philosophie générale de ce dernier repose sur l'idée que l'engagement de cesser cette activité doit être définitif et qu'aucun accident de parcours n'est toléré.