La France, elle, réaffirme une position claire et juste, en refusant l’asphyxie d’Athènes, qui irait totalement à l’encontre de l’intérêt collectif des Européens. L’Europe va d’ores et déjà de l’avant : fin de l’euro cher, plan Juncker d’investissement, rachat de dettes par la Banque centrale européenne. En tant que pays fondateur, la France a joué un rôle décisif dans ces avancées.
Mais ces avancées ne sauraient se poursuivre sans une responsabilisation commune et un respect des règles du jeu que nous, Européens, nous sommes collectivement fixées.