Cela nous inquiète, car certains pourraient se détourner vers un système où l'on ne détecterait pas la radicalisation.
Un autre moyen de le faire, dont Yves Goasdoué, à qui je vais passer la parole, a été témoin lors d'un déplacement de notre commission d'enquête dans un collège, consiste à demander une dérogation scolaire. Une inspectrice de secteur nous a dit que de telles demandes pour motifs religieux étaient de plus en plus fréquentes.
En tout état de cause, notre commission formulera des propositions, mais c'est un point sur lequel nous souhaitions appeler votre attention.