Je pense également qu'il faut maintenir cet article favorable à la relance du marché français de l'ameublement.
Je souhaite insister sur le caractère temporaire de cette mesure appelée à prendre fin le 31 décembre 2017. Elle est en outre plafonnée à 10 000 euros par an. Le marché de l'ameublement souffre, avec un chiffre d'affaires en recul de plus de 10 % ces trois dernières années, d'autant qu'il est une victime collatérale de la dégradation du marché immobilier.
Cette mesure est indolore pour les finances publiques dans la mesure où la prime n'a pas à être versée puisque les PEL resteront ouverts.
Le dispositif similaire mis en place dans les années 1980 avait permis le décollage du marché de la cuisine équipée. Pourquoi serait-il inenvisageable d'aboutir au même résultat aujourd'hui ?
Si vous refusez de soutenir cette mesure susceptible de relancer un secteur qui pourrait être porteur, où sont la croissance, l'activité et l'égalité des chances économiques promises par le projet de loi ?